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festival du film de la reunion
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Lucas Belvaux (président du jury)


Acteur charismatique, cinéaste autodidacte et engagé, il s’impose brillamment dans le cinéma d’auteur. Comédien, il joue dans une vingtaine de films sous la direction de maîtres de la Nouvelle Vague - C. Chabrol (Poulet au vinaigre), J. Rivette (Hurlevent) - ou de leur héritier O. Assayas (Désordre).

Réalisateur, il construit une oeuvre humaniste et sans complaisance, en prise avec la réalité sociale, constamment traversée par des questionnements politiques et moraux. Road-movie intimiste (Parfois trop d’amour), vaudeville décalé (Pour rire !), trilogie audacieuse (Un couple épatant, Cavale, Après la vie), polar social (La Raison du plus faible) ou drame (Rapt, 38 témoins), ses huit films demeurent éclatants de sincérité et d’intensité dramatique.
Natasha Régnier


Malgré sa blondeur et son teint diaphane qui impriment la pellicule comme personne, cette comédienne envoûtante incarne des personnages sombres (La Vie rêvée des anges, prix d’interprétation à Cannes) et destructeurs (Les Amants criminels).

Mélange de timidité et d'audace, elle navigue entre la jeune garde du cinéma d'auteur (Emmanuel Bourdieu, Angela Schanelec) et des cinéastes confirmés aux univers singuliers comme Pascal Bonitzer (Encore), Chantal Akerman (Demain on déménage), Eugène Green (Le Pont des arts) ou Lucas Belvaux (38 témoins).

Face à Michel Piccoli (Tout va bien, on s’en va) ou Michel Bouquet (Comment j’ai tué mon père), elle impose un jeu subtil et profond ainsi qu’une sensibilité à fleur de peau.
Amira Casar


Avec une quarantaine de films, la comédienne polyglotte au profil de reine façonne une filmographie à son image : exigeante et populaire, singulière et fascinante, excentrique et touchante.

Intensément habitée par son métier d’actrice, elle n’hésite pas à aller vers la comédie décalée (Filles perdues, cheveux gras, Let My People Go!) ou plus de sensualité et de subversion avec Catherine Breillat (Anatomie de l’enfer), les frères Larrieu (Peindre ou faire l’amour) et Laetitia Masson (Coupable).

De Thomas Gilou (La Vérité si je mens !) à Tony Gatlif (TranSylvania), Carlos Saura (Buñuel et la Table du Roi Salomon) ou Werner Schroeter (Nuit de chien), sa carrière traverse avec grâce des univers personnels et éclectiques.
Eric Languet


Après une carrière de danseur classique qui le mène jusqu’à l’Opéra de Paris, il poursuit sa passion au Royal New-Zeland Ballet où il est nommé danseur-étoile puis chorégraphe résident pendant trois années, avant de travailler en Australie.

En 1998, il fonde sa propre compagnie, Danses en l’R, à l’Île de la Réunion où il a grandi. Parallèlement, il participe à la tournée mondiale de la pièce «The Cost of Living» de Lloyd Newson.

Depuis 2004, Éric Languet mène également des ateliers uniques permettant l’intégration de personnes handicapées par la danse. Loin d’une recherche purement formelle, ses créations questionnent la notion de danse-théâtre propre à son parcours essentiellement ultramarin et anglo-saxon.
Anne Marivin


Un seul rôle dans le film français le plus vu de tous les temps suffit à l’imposer aux yeux du public.

Mais avant Bienvenue chez les Ch’tis, cette comédienne nature et pétillante présente déjà une filmographie conséquente et de nombreuses apparitions dans Ah ! Si j’étais riche, Chouchou, Podium ou Prête-moi ta main.

Spontanée et toujours juste, elle impose sa personnalité lumineuse face à des acteurs emblématiques comme Jean-Pierre Darroussin, Alain Chabat, Gad Elmaleh ou Benoît Poelvoorde.

Son genre de prédilection demeure la comédie (Le Coach) mais elle n’hésite pas à faire des incursions remarquées dans le drame (Demain dès l’aube…, Tu seras mon fils), le thriller (Truands) ou le film choral (Les Petits Mouchoirs).
Fred Eyriey


Depuis plus de vingt ans, ce réalisateur et producteur oeuvre avec passion dans le 7e art et l’audiovisuel. Il découvre le cinéma avec Elie Chouraqui et Gilles Béhat comme stagiaire régie.

Il participe ensuite à la production d’une vingtaine de documentaires autour du monde. Il organise également des tournages de fiction dans l’Océan Indien en tant que producteur exécutif (Un autre monde de Gabriel Aghion).

Sa société, Lithops Films, développe actuellement plusieurs projets de fictions pour la télévision et le cinéma dont Rosenn d’Yvan Lemoine avec Rupert Everett et Stanislas Merhar.

Il est enfin l’auteur de neuf courts métrages, de deux séries télévisées, de deux documentaires et d’une vingtaine de publicités
Rachida Brakni


Son regard fier, brillant et intense dévoile toute sa détermination à offrir une exigence et une passion intactes, exprimées au fil d’une vingtaine de longs métrages.

Après le Conservatoire, elle suit la voie royale jusqu’à la Comédie-Française mais le goût du risque et le désir d’expériences la conduisent au 7e art.

À l’aise dans le drame (Barakat !), la comédie (Neuilly sa mère !) ou le thriller (Une affaire d’État), elle affectionne les univers singuliers (L’Outremangeur, Les Mouvements du bassin) et s’illustre dans des rôles physiques (La Ligne droite) ou engagés (Chaos, L’Enfant endormi, Les Bureaux de Dieu).

Artiste polyvalente, elle ajoute une corde - vocale - à son arc en sortant un album de chansons remarqué.
Audrey Fleurot


Son physique diaphane, sa beauté volcanique et sa voix grave sont reconnaissables entre tous. Théâtre, télévision et cinéma, elle joue sur toutes les scènes où elle dévoile sa personnalité flamboyante.

Sur le petit écran, elle est révélée par le rôle de l’hilarante Dame du Lac pas très maligne dans le déjanté Kaamelott, puis en femme au foyer impulsive dans l’ambitieuse fresque sur l’Occupation Un village français et enfin en avocate ambitieuse et sans scrupules dans la série noire partout saluée Engrenages.

Sur le grand écran, la séduisante assistante de François Cluzet dans l’immense succès mondial Intouchables participe également aux Femmes du 6e étage face à Fabrice Luchini ou aux Deux Mondes face à Benoît Poelvoorde.
Kelly Dargaud


Originaire de la ville du Port, elle est la deuxième Réunionnaise à avoir porté la couronne de Miss France en 1977. Après ce sacre, elle travaille en tant que mannequin en Métropole.

Quittant le monde de la mode en 1979, elle débute une formation, passe un concours et devient documentaliste au Conseil général du département.

Parallèlement, elle s’engage depuis quelques années dans de nombreuses actions caritatives et s’occupe d’une association consacrée aux jeunes, Atout majeur. Cet organisme permet de mener des missions humanitaires à Madagascar ou dans les écoles à travers des ateliers pluri-scolaires et organise des opérations de lutte contre le chômage.